On a eu la possibilité de jeter un coup d’œil dans la vie quotidienne de ceux qui vivent avec un handicap. 

La Fondation Orbán de la ville Odorheiu Secuiesc a organisé lundi à l’occasion de la journée mondiale des personnes handicapées une présentation formatrice de conception. Dans la Maison de Communauté Bocskai István de la localité par différents exercices tout le monde pouvait faire l’expérience du sentiment de vie des personnes handicapées.

Lundi dans la Maison de Communauté Bocskai István de la ville Odorheiu Secuiesc tout le monde pouvait faire l’expérience de ce que signifie, quand il faut circuler à l’aide d’une béquille ou dans une chaise à roues, éventuellement quand la vue ou l’ouїe est troublé. Les personnes intéressées ont eu l’occasion de ressentir sur un parcours d’obstacles quelles difficultés rencontre une personne handicapée et à l’aide des brilles spéciales quel embarras crée la vue trouble ou la cécité. Dans ce dernier cas on pouvait utiliser seulement le toucher, ainsi on devait reconnaitre, respectivement arranger en fonction du poids et de la forme les différents objets. L’une des plus difficiles exercices a été peut - être le dessin, parce qu’on devait tenir le pinceau avec la bouche.

La sœur Tarzícia, qui a désiré à offrir aux élèves une expérience unique, a rapporté plusieurs classes de lycée. «Je pense, que nous vivons dans une monde égoїste, c’est pourquoi j’ai considéré comme très important, que les jeunes fassent l’expérience aussi d’une autre chose que leur propre vie » a-t-elle expliqué. Elle a accentué, qu’une expérience vécue pendant un si court temps est « une goutte dans la mer, mais portant plus que rien ». Parmi les élèves nous avons demandé Tököly Péter sur l’expérience vécue. Il nous a raconté, qu’il se demandait souvent, comment peut-on circuler avec une chaise à roues. Quoiqu’ il ait déjà vu, que de nombreuses personnes handicapées font du sport, il n’a jamais pensé, que cela est si difficile, c’est pourquoi il les admire. D’après son expérience il n’est pas facile à diriger une chaise à roues, c’est pourquoi il considère, que pendant la construction de l’infrastructure de circulation on doit prendre en considération aussi les nécessités des personnes handicapées.

Le pédagogue thérapeutique Bokor -Péter Tímea, la coordonnatrice du projet considère, que la largesse d’esprit des élèves a été différente: les uns ont seulement essayé les exercices,  les autres se sont montrés intéressé au sujet. La limitation de leurs organes des sens a déclenché de nouveaux sentiments, plusieurs ont été furieux, qu’ils ne peuvent pas accomplir adéquatement les exercices. Mais le but était justement cela, c’est-à-dire d’offrir la possibilité de jeter un coup d’œil dans la vie quotidienne des personnes qui vivent avec un handicap  et par cela sensibiliser la société. „Les participants ont fait aussi l’expérience, que l’organisme humain est merveilleux, car si l’un de nos organes de sens ne fonctionne pas bien les autres se renforcent” a-t-elle nous expliqué.